Petite soeur blesser

Attention, la police arrive...

*Mais que c’est-il passer? Pourquoi J’ai fait ça? Pourquoi J’ai pas pu me contrôler aujourd’hui.*

Il regardait Anthony marcher de long en large de la salle d’attente. Thomas est assit la, a attendre lui aussi ou plutôt a penser à comment il a pu lui faire ça. De comment il a pu perdre son sang froid... *Et si elle meurt? Si elle à une infections..?* A ces penser l’inquiétude et la peur de Thomas mante en flèche. Même ces petites larme qui vient chatouiller ces popière. Il passe sa main pour les chasser de son visage. Il son voulais pour ce qu’il a fait... Et la il voit Anthony s’approcher pour venir ce placer a sa hauteur et au lieux de l’engueuler comme l’aurait fait son père.. Oui Thomas est le seul a ce souvenir de ces parent. Et faut dire que parfois il aurait aimez les oublier... Bref au lieux de l’engueuler, il lui parle, en faite il le rassure. Parce qu’il sais que son grand frère s’inquiète pour sa soeur et bien sur, il sais qu’il ce dit que ces sa faute. Bon ok oui ces de sa faute, mais Gabrielle y est pour qu’elle que chose l’a dedans aussi.

-Allez Thomas... Ne fait pas cette tête la... Gabby elle va bien. Les docteur fond seulement des test pour savoir si elle a attraper la rage....

*Pff... la rage comme si moi j’ai la rage!!* mais il ne répond pas... Il préfère rester muet comme une tombe que de dire un truc qu’il n’aurait pas du dire. Mais après ce qu’il a fait... Est-ce que Gabrielle va vouloir lui parler... Ces sur que sa vas devenir encore pire que c’était maintenant. Et il ne pourra pas plus la protégé... Tout ses pensé lui rangeai les os.. Et la culpabilité lui serrai les entrailles.... Anthony finit par ce levez et allez chercher du café. Pendant ce temps, le docteur qui s’occupe de Gabrielle arrive... Et Tommy ce lève a l’entente de son nom.

Alors... Comment elle vas ?

-Je suis désoler de vous le dire monsieur Williams, mais votre mère est morte, en a rien pu faire pour la sauvez.

Et la il entendit une femme partir en sanglots, il y avait deux Williams dans la sale d’attende. Thomas en avait eu les larme au yeux en entendant le Désoler. Mais Souffla après avoir entendu “mère” Le Docteur n’arrêtait pas de dire désoler a Thomas... après lui avoir dit que sa sœur allait bien, qu’elle était dans la chambre 203. Jamais il aurait penser ce rendre aussi vite dans cette chambre qui semblais très loin... Oui il a laisser Anthony a la salle d’attente. Arriver a la porte, il ose a peine entrée a l’intérieur.

Elle était la, allonger sur son lit d’hôpital... Réveiller!! Mais il devais allez la voir, il devais s’excuser. Il en avait besoin.. Alors il entre et s’assoit sur la chaise a coter du lit et la regarde. Mais baisse la tête...

Excuse moi..... Je.... Je ne voulais pas...

Une fois de plus il passe ces mains sous ces yeux pour chasser ces larme. Thomas est peut être un homme mais question famille il est beaucoup émotif. Enfin surtout si il arrive qu’elle que chose de grave, la peur de perdre cet êtres important a ces yeux lui monte souvent a la tête.

« Gabrielle. Gabrielle. Est-ce que tu m'entends? »

Une voix masculine la tira de l'état d'inconscience duquel elle se trouvait depuis déjà quelques minutes. Doucement, elle ouvrit les yeux, puis les referma aussitôt, éblouit par la lumière au-dessus d'elle. Était-elle morte? Non, bien sûr que non. Elle sentait encore cette douleur intense à sa jambe. Elle cligna rapidement des yeux à quelques reprises avant de finalement pouvoir regarder ce qui se passait autour d'elle. Elle n'était pas chez elle, il n'y avait pas de doute là-dessus, mais où pouvait-elle bien se trouver?

« C'est bon, elle est de nouveau consciente. Apportez-lui une nouvelle compresse d'eau. Vous, allez chercher ce qu'il faut pour soigner cette plaie. »

ordonna la voix qu'elle avait entendu un peu plus tôt. Elle repéra rapidement son propriétaire, un vieux monsieur à la barbe grisonnante, mais au regard doux. Il avait l'allure d'un homme que l'on respecte et à en juger par les autres personnes qui s'activaient dans la pièce, ce n'était pas seulement qu'une impression.

« Bonjour Gabrielle. Je suis le docteur McKenzie. Tes frères nous ont dit que tu t'étais fait mordre par un chien. Est-ce que tu t'en souviens? »

La jeune femme resta silencieuse quelques instants, les yeux plongés dans ceux du médecin, elle réfléchissait. Elle se souvenait de tout, sa journée à l'école, sa soirée en companie de Sam, sa dispute avec Thomas jusqu'au moment où elle avait regardé sa blessure. Après, il n'y avait que du noir, comme si elle avait dormi tout ce temps. Un chien... Elle en avait presque envie de rire. Quelle excuse idiote... Malgré tout, le médecin n'y voyait que du feu puisqu'il ignorait l'existance des loups-garous et c'était probablement mieux ainsi.

« Oui, je m'en souviens. Un peu... »

répondit-elle alors qu'on lui passait une compresse d'eau froide sur le front.

« Bien. Ne t'en fais pas, ce n'est rien que nous ne puissions pas arranger. Nous allons d'abord désinfecter la plaie, puis tu auras besoin de quelques points de souture, mais tu ne sentiras rien. Le soluté devrait bientôt faire son effet, tu ne sentiras même plus la douleur de ta blessure. Ainsi, nous te ferons passer quelques tests pour s'assurer que l'animal n'avait pas la rage et...»

« Non, il ne l'avait pas. » dit-elle calmement.

« Pardon? »

« Eeee... enfin, je ne crois pas, mais je ferai vos tests si c'est ce qu'il faut. »

ajouta-t-elle en réalisant que, si elle s'était réellement fait mordre par un chien, elle n'aurait pas pu être certaine qu'il n'avait pas la rage. Seulement là, il s'agissait de son frère et, même s'il était en colère au moment où il l'avait mordu, il n'avait pas la rage.

« Est-ce que je pourrai rentrer chez moi après? Ce sera long tout ça? »

Elle avait promis à Sam de le revoir ce soir-là et maintenant, elle ignorait quelle heure il était. Il ne devait pas être vraiment plus tard qu'avant son départ de la maison, mais elle espérait qu'elle pourrait rentrer bientôt.

« Nous le saurons bientôt. »

dit-il en approchant avec une aiguille. Gabrielle jeta un bref coup d'oeil à sa jambe, puis tout devint noir de nouveau. Lorsqu'elle réouvrit les yeux, elle était couchée dans un lit d'hôpital, vêtue de l'un de ces charmants uniforme réservé aux malades. La pièce était vide, mais ça n'allait pas durer bien longtemps. Elle entendait des pas dans le couloir, puis elle vit le visage de son frère apparaître dans le cadre de porte. Elle le regarda à peine, puis fixa son regard sur l'écran de télévision qui avait été allumé devant elle. C'était comme si elle ne l'avait pas vu. Et elle continua de l'ignorer lorsqu'il s'excusa.

Gabrielle sentit son pouls s’accélérer dans ses veines, d’ailleurs, on pouvait l’entendre, puisqu’elle était branchée à un moniteur. Elle bouillonnant de rage seulement en entendant le son de sa voix. Comment osait-il encore se montrer devant elle et lui parler après ce qu’il lui avait fait? Elle ne résonnait plus, il n’y avait que la colère. Rien d’autre que la colère. Il tenta de la faire rire, mais sa blague eut plutôt l’effet contraire. Elle avait envie de lui cracher ses quatre vérités à la figure, mais elle préféra garder le silence. Elle savait combien il détestait lorsqu’elle ne lui parlait pas. Elle savait que son silence l’énerverait encore plus que si elle lui disait ce qu’elle avait sur le cœur. Elle lui en voulait, elle lui en voulait terriblement. Non seulement il gâchait sa vie en la surprotégeant, mais en plus il l’avait attaqué. On n’attaquait pas les gens qu’on aimait. Il l’interdisait de revoir Sam sous prétexte que les vampires étaient des créatures trop dangereuses et il l’envoyait faire un tour à l’hôpital. Quelle ironie… Il était bien plus dangereux que ne l’avait été Sam tout au long de la soirée qu’ils avaient pensé ensemble.

Probablement découragée de la voir s’obstiner à garder le silence, il était sorti de la chambre. Bien entendu, elle n’aurait pas le privilège de rester seule bien longtemps. Anthony fit son entrée à son tour. Elle lui était reconnaissante d’avoir été là, de l’avoir mise hors de danger, mais elle lui en voulait de défendre son frère ainsi. De la blâmer même. Elle en avait assez de les entendre parler tous les deux. Elle voulait être seule, du moins, pas en leur compagnie. Elle se tourna donc sur le côté, faisant bien attention à sa jambe, puis elle ferma les yeux.

Anthony ne tarda pas à quitter la chambre à son tour, la laissant seule avec ses pensées. Elle ouvrit légèrement les yeux, regarda l’heure et les referma immédiatement. Elle aurait dû être chez elle, Sam allait l’attendre. Elle lui avait dit de passer par derrière. C’est là que se trouvait sa chambre. En pensant par là, Thomas ne le verrait pas et c’était mieux ainsi. Elle n’arrivait plus à se rappeler si sa fenêtre de chambre était ouverte. Elle l’espérait. Comme cela, il pourrait entrer et en voyant le désordre dans le salon il comprendrait peut-être. Il était intelligent et perspicace, elle le savait. Plus elle y pensait et plus elle en voulait à Thomas. Après tout, peut-être l’avait-il fait exprès. Il s’était peut-être dit, qu’au moins, pendant qu’elle serait à l’hôpital, elle ne passerait pas son temps à fréquenter des vampires. C’était peu probable qu’il l’ait vraiment voulu, mais c’était plus facile de lui en vouloir que d’admettre qu’elle avait des tords également…

Il s'était douter que le frère de Gaby allait mal réagir. Il s'était fait un sang d'encre, mais n'était pas rester près d'elle lors de la confrontation car sa aurait sans doute allerté le loup-loup et sa, c'était loin de lui plaire, mais sa n'aurait sans doute apporter que plus d'ennuie à la jeune femme. Il avait errer dans les rues le reste de la matinée, n'attendant plus que leur convenu pour retourner chez la jeune femme et savoir comment sa s'était passer avec le clébard.

C'est en arrivant chez elle, et voyant le fenêtre qu'elle lui avait indiquée comme sa chambre toujours fermée qu'il commenca à se poser des questions. Après tout, peut-être s'était-il trompé, il fit le tour de la maison trois fois, non aucune fenêtre n'avait été laissé ouverte. Il s'approcha sur le porche arrière de la maison, et son côté vampirique pris le dessu. Une odeur familière lui vient au narine, une odeur qu'un simple mortel n'aurait sans doute jamais senti. Quelque chose s'était passé il le savait. Outre l'odeur de ses ''frères'' il y avait l'odeur du sang, son sang à elle. Une rage s'empara de lui, devinant que la rencontre ne s'était pas très bien passé, et se passerait encore plus mal quand il se serait occupé des bâtards. Ouvrant son portable il téléphona à tout les hôpitaux de la région, et fini par la trouver, arriver d'urgence pour morsure de chien à la jambe. Oui c'était sure, il allait lui payer sa, le clebs.. Et pas qu'un peu...

Tout en allant vers l'hôpital autant ''humainement'' que possible, pas question d'apporter en plus les regards sur lui devant toute les personnes qui se baladaient en ville, il refit le point, se demandant pourquoi il se sentait déja si protecteur envers la jeune femme. Il eut beau ressasser et ressasser toujours la même question, il se dit que sa devait être à cause de ses monstres de loup-garou qu'elle avait le malheur d'avoir comme frère. Oui sa devait surement être cela. Se retrouvant dans une rues bien sombre, il en profita pour se mettre à courire vers l'hôpital arriver serait bien plus rapide avec sa vitesse à lui.

Il avait simplement fait un arrêt pour savoir la chambre, question de ne pas trop humer l'air environnant pour la trouver, surtout que dès son entrer, il avait senti l'odeur distincte des clébards. Il tournait déja la poignée de la porte pour entrer dans la chambre de la jeune femme.. La voyant étendu sur le lit, coucher dos à la porte, il fut emplit de rage, comment n'importe lequel des deux, avait osé faire de mal à la jeune femme?! S'approchant du lit à pas de loup, quel ironie d'ailleur, il chercha à savoir si la jeune femme dormais... C'était décider, il allait la protéger maintenant, ses frères semblaient en être incapable, au tour du plus fort des deux races, un vampire, lui en l'occurence de prendre l'affaire en main. Debout sur le bord du lit, la jeune femme lui tournait le dos... N'osant parler pour ne pas la réveiller, si elle s'était assoupis...