À la piscine la nuit

Lorsque j'entend des bruits de bataille je me rend tout de suite a la piscine... A ce moment je voit l'homme en noire et.... Et Percy! Il est toujours ici... Comme a son habitude. Probablement qu'il est venu faire sa nage nocturne. Percy me ramêne sur terre lorsqu'il demande de l'aide... Sortant mon arme de son étui et le pointe vers l'homme en noir...

- Police... dis-je le plus fort et le plus froid possible. Personne ne touche a ce jeune homme. Pas sur mon travaille! Lache ton arme!!

Je m'approche doucement son faire de mouvement brusque. Je ne veux pas qu'il blesse d'avantage Percy. L'homme ne bouge plus... Les mains en l'air....

-LACHE TON ARME!!

Je continue d'avencer part l'homme, celui-ci ce tourne et lance le couteau dans ma direction et se met a courire vers la sortie... J'evite le couteau facilement et laisse l'homme partir. Après tout... Je pourais facilement le retrouver plus tard. Son odeur n'est pas des plus plaisant, il va être facile a retrouver.

J'approche de la piscine tout en replacent mon arme dans son étuit. Je m'acroupi a la hauteur de Percy quelque seconde avant de lui tendre la main...

-Tu aurais pu facilement te defendre Percy...

Son odeur a changer... Je suis un peut triste mais d'un autre coter je les laissers tout seul dans cette cituation. J'ai fuit comme tout les autres. En faite j'ai même pas réaliser mais... Peut être qu'il ne veux pas me voir. Attend pourquoi je devrai me préocuper de ça ? Ce n'ai qu'une autre personne que j'ai sauver... Va faloir que je lui pose les questions habituelle et que je fais me rapport alors j'ai pas le choix de rester pour lui parler... Les images de cette nuits particulière me revienne... Celle ou en avait fait l'amour dans cette même piscine, je me suis laisser emporter et pourtant il est plus jeune que moi... Beaucoup plus jeune même!! Ça na pas d'importence pour les loup-garoux mais pour les humains c'est une tout autre histoire. Très mal vue. Je lui sourit finalement, toujours la main devant lui...

Toujours aussi mignon, aussi... Attirend. Enfaite, après l'avoir griffer, je me suis jamais pardoner et j'ai disparu comme un lache. Je m'en veux toujours de l'avoir transformer. C'est bien la dernière personne a qui je voulais faire ça! Je voulais qui faisait une vie normal comme tout le monde bien qu'il a l'air d'oublier qui il est maintenant. Je soupire intérieurement et le regarde toujours... Il prend finalement ma main et je l'aide a sortir de la piscine. Il faillit tomber et mais comme j'était devant lui, il "tombe" tout simplement contre moi. Si vous savez comment ça ma manquer! Juste avoir son contact contre moi... Je mante doucement mes bras pour le prendre contre moi mais il brise le doux callin aussi vite qu'un oiseau épeurer.

-Tu crois qu'un detaille comme ça me dérange ? Mais lorsqu'il me dit que son bras est en sang, je m'approche tout de suite de lui et regarde son bras. Si la blessure ne c'est toujours pas refermer, alors en a affaire a un chasseur. Et ça ne cerait pas un bon signe. Très mauvais même! Je peux voir ton bras, demadès-je avec un air un peu plus sérieux et inquiet. Si tu saigne toujour, ce n'ai pas un bon signe... Je veux dire.... Dans notre situation. Tu serais suposer être capable de guérire assez vite... Mais si l'homme a utiliser une arme en argent, ça veux dire qu'il sait que tu es un loup-garou.

Je lève mes yeux pour le regarder dans les yeux et je le vis rougire... Ce qui me fit sourire, un petit sourire en coin. J'ai toujours des sentiments pour se jeune homme même si cela fait 2ans... J'ai jamais arrêter de penser a lui, j'amais chercher avoir une autre relation. Après tout je suis un loup-garou quand même vieux, bien que je n'ais jamais mentioner mon age a Percy ni même a personne seulement mon "age humain".

Je l'observe encore un peu et me rend compte qu'il trombe comme une feuille. Alors j'enlève mon menteau de policier et le lui met sur les épaules. Bon si tu ne vois pas d'inconvégnant, je crois que se serait plus sage de partir dans une endroit chaud... Bien que je pourrais facilement le réchauffer... Non mais je rêve, j'ai vraiment penser à ça dans une cituation comme celle-ci ? Je devrais m'enfermer et ne plus jamais sortir de ma maison! Mais il est tellement mignon et attirent et... Et merde... Du calme Thomas... Si tu continu comme ça tu va finir par lui faire du mal! Faut pas... Et puis peut être qu'il a quelqu'un dans sa vie.

Je soupire finalement et remarque que le couteau sur le sol. Je m'approche de ce dernier laissant Percy derière moi. Place des gands et sort un sac assez grand pour pouvoir y placer le couteau bien que c'est le travaille des enquêteur, que d'ailleur qu'il faut que j'appelle. " Tu devrais te rendre dans les vestiaire pour le moment, les enquêteur ne sera pas long." je m'approche de lui et insiste a ce qu'il entre a l'intérieur, pour se réchauffer et pour éviter qu'il ne ce fait voir.

-Est-ce que tu as des ennemies ou des gens qui veux te faire du mal ? Aurais-tu quelque chose qui interresserais quelqu'un ? j'accote mon dos contre le mur tout en le regardant et croire les bras, intriguer par cette attaque.

Heureusement que la blessure se referme. Sinon en aurait eu un problème plus grand puisque j'ai laisser allez le suspec. Mais mon travaille conciste aussi à voir a ce que la victime soit en sécuriter. J'irrais après l'homme plus tard, comme je les déjàs mentionner, je connais son odeur. Ce n'ai pas des plus plaisant. A comparer celle de Percy. Finalement, il se tourne pour se changer... Et je vois la cicatrice. Je perd soudain tout sourire et me souvient ce qui c'est passer. Je baisse un peu les yeux mais Perceval ce retourne brusquement me laissant cette magnifique vue sur son entre jambre. Embarasser, il la couvre en vitesse avec sa cerviette...

Puis finalement baraguine une réponce a ma question mais soudain je le vois se rapprocher. Merde... Je suis en plain travaille, je ne peux pas faire un truc comme ça pendant mon job. Je risque d'être renvoyer et en plus que les enquêteur arrive. Bien que j'ai presque tout oublier ça juste le fait qu'il a poser ses lèvre contre les mienne, ses mains dans mon dos... Je le laisse continuer mais l'arrête avant que ça ne va plus loins et que quelqu'un me surprend.... Je lui prend les mains dans les miennes, je sais qu'il est déçu sur le coup, juste a voir son regard. Mais je luis sourit pour le rassurer, tout en carraissant son visage :

-Pas maintenant, je suis toujours sur mon travaille. Mais si tu veux se soir, en peux se retrouver quelque part, ou chez moi pour être un peux plus intime... Les enquêteur vont bientôt arriver, il faudrais t'habiller. Je lui souris et approche mon visage du sien et l'embrasse... Puis lui dit a l'oreille : ne t'en fait pas, je n'ai eu que toi dans mon coeur.

Je vais finir par le faire fondre pour de vrai! A quoi je joue ? Et si lui il a quelqu'un ? Je vais me faire tuer, en quelque sorte. Personne ne peux me tuer a part un chasseur et des trucs en argent. Malgré que je lui ai dit qu'il devrait s'habiller, je le tien fort contre moi et ne le lache pas... Je le veux, C'est le mien. C'est MON Percy! Et personne ne peux lui faire de mal ou devrait lui faire du mal. Malheureusement je me laisse emporter part mon désire et commence a l'embrasser dans le coup...

-Je ne devrais pas faire ça... Dis-je entre deux bisou. Mais mes geste ne colle pas avec ce que je dis. Mon désir est trop grand pour que ma raison ai le deçus. Je le caresse partout où mes mains peut se rendre et aller. Il va faloir qu'on arrête bientot, lorsque les enquêteur vont arriver... J'espère que sa ne te pause aucun problème si c'est en plain milieux.. Mais je te veux. Je l'approche de moi et l'embrasse comme je ne l'ai jamais fait... Mon coeur commence a s'emballer et je souris. C'est la même senssation que j'ai eu la première fois. La première fois où j'ai terminer en lui fesant mal. Et si.... Et si je te fesais mal encore une fois ? Je ne pourrais pas te cacher que dans certaine cituation, même si j'ai un parfais controle sur moi même... Je perds le controle. Je ne sais pas pourquoi, mais sa arrive....


Mais il est toujours contre moi, toujours dans mes bras. Je veux le tenir le plus longtemps possible c'est comme un désir que j'ai reffouler pendant deux ans qui venais tout juste d'exploser! Je ne comprend pas... Mais est-ce que j'ai vraiment besoin de comprendre ?

Mais quel crétin ! Je le savais ! Je savais bien qu'il a quelqu'un dans sa vie, maintenant ! Après tout, il faut bien dire ce qui est. Il est grand. Beau. Incroyablement sexy dans son uniforme. Gentil. Charmant. Je vais m'arrêter là sinon je n'en finirais jamais ! Comment je sais que tout a changé entre Thomas et moi ? Tout simplement parce qu'il me repousse. Je voulais juste être blotti contre lui, moi... Mais bon, apparemment j'ai attendu deux ans pour rien. Je ne cache pas ma déception. Ou plutôt j'essaye mais c'est peine perdue. Je peux pas. C'est plus fort que moi. Sauf que, ensuite... Ensuite viennent ses mots. Il prend mes mains dans les siennes. Je me mords un peu la lèvre. Rien que ça... Cette sensation... Écouter. Je dois écouter. Et je fais bien. Mon Dieu ce que je fais bien ! Thomas me dit simplement... D'attendre. D'attendre que je sois chez lui pour qu'il me serre contre lui. Pour que je l'embrasse. Pour qu'il m'enlève mes vêtements. Pour que je le... Enfin bref. Mon cœur s'emballe à nouveau et un large sourire se dessine sur mes lèvres. Et c'est pas fini.

Je frissonne. Je frémis de haut en bas. De la pointe des cheveux au bout des pieds. Il n'a personne. Il n'a... Il n'a que moi. Je fonds. Je craque. C'est trop pour moi. Je crois bien que je suis amoureux. Je n'en étais pas certain avant. Après tout Tommy m'a fait du mal. Il a changé ma vie de manière radicale. Bonjour l'explication que j'ai due donner pour ma cicatrice... Seulement, là... Là je sais que j'aime cet homme. Que je n'ai besoin que de lui pour vivre. Et il semblerait que ce soit réciproque, dans la mesure où mon loup se fiche ben des enquêteurs et, me serrant contre lui, commence à m'embrasser dans le cou. Je ferme les yeux, soupirant longuement en m'accrochant à la veste de mon amant. Tout est exactement comme dans mes souvenirs. Ses doux baisers. La chaleur de son souffle sur ma peau. Le léger picotement de sa barbe. Plus il parle et plus ses mains me caressent avec insistance. Plus ses baisers se font passionnés. Si bien que je suis serré sous ma serviette. Pour ne pas dire que j'étouffe.

" C'était avant. Maintenant... Maintenant je suis comme toi. Je ne veux que toi. Je n'ai besoin que de toi. Et je te fais confiance. Je sais bien que... Que tu ne me ferais jamais de mal. "

Mes mains sont posées sur le torse de Thomas. Je le regarde droit dans les yeux, le sourire au lèvre. Son dernier baiser m'a donné envie de plus. De beaucoup plus. Cependant... Je ne sais pas comment faire. Je ne sais même pas si je vais y arriver. Est-ce que je panique ? Oui. Mais le simple fait d'être dans les bras de mon amant me réconforte assez pour me donner la force  d'aller jusqu'au bout. Et tant pis si on doit s'arrêter en plein milieu ! On ne sera que plus passionnés une fois chez lui ! Je recule donc d'un pas, me mordant la lèvre. Je caresse doucement le torse du loup à travers sa chemise. Mes mains tremblent. Je me souviens de ce qu'il y a sous ses vêtements. Je veux savoir si ça aussi c'est toujours pareil. J'attrape donc doucement le col de la chemise de mon homme et commence à déboutonner l'uniforme à deux mains. Petit à petit. Allant de plus en plus bas. Finalement, j'écarte les deux pans de la chemise et contemple le corps de Thomas. Je viens me coller à lui. Le flairer. Frotter ma joue contre ses pectoraux. Embrasser son torse. Lécher ses tétons. Je ne tiens plus ! Je retire sa chemise au beau gardien de la paix, et pose mes mains sur sa taille avant de venir l'embrasser à pleine bouche.

" Je m'en fou des enquêteurs. Je m'en fou qu'on soit ici. Je m'en fou que tu sois en service. Je m'en fou de devoir continuer plus tard. Je m'en fou de tout. Tout ce qui m'importe, là, maintenant, c'est toi. Fais-moi l'amour, Tommy. "

Pour appuyer mes paroles, je dénoue ma serviette d'une main, la laissant tomber au sol et dévoilant mon membre viril fièrement dressé à l'attention de mon amant. Quant à lui... Je reste collé à son torse doux et chaud alors que mes doigts s'attaquent à sa ceinture pour la défaire, faisant de même avec sa braguette jusqu'à ce que je puisse lui baisser son pantalon et frôler la bosse dans son caleçon, par un tel hasard que j'en viens à me crisper en baissant les yeux, aussi gêné et rougissant que lors de ma première fois...

" Hum... Je... Pardon... "

Je souris à cette situation, il est tellement mignon lorsqu'il rougis. Et je sais que ça ne lui prend pas grand chose pour que ça arrive! Je me souvient d'avoir pris plaisir à le faire rougir une fois de temps en temps. Mon dieux... Cette sensation! Ça fait tellement longtemps que j’attends pour ressentir ça une fois de plus! Je pose doucement ma main contre son visage et lui fait un petit sourire en coin :

-Tu n'as pas a t'en faire... dis-je en me me pliant un peux pour pouvoir l'embrasser. Je prend sa main et la pose sur la bosse de mon caleçon... Tu peux continuer... Je ne déteste pas la sensation.

Et je l'embrasse à nouveau tout en posant soigneusement mes mains partout sur son petit corps... Jusqu'à atteindre une endroit bien spécifique et je caresse de haut en bas. Vous savez, je n'ai jamais arrêter de l'aimer. Même après ce que je lui est fait vivre, je m'en veux de ne pas avoir été la pour lui, pour l'aider dans cette situation. Je sais, je sais je me répète. Mais quand même.... Finalement je le prend dans mes bras et le transporte jusque dans les douches. Là, si quelqu'un entre, en ne sera pas déranger... Malgré qu'en va se faire déranger point s'ils arrive! Je le pose sur le plancher froid de la douche..

-Désoler… C'est un peux froid… Mais je peux toujours te réchauffer dis-je avec un sourire charmeur et je recommence mes caresse un peux partout sur son corps… Comment ai-je fait pour le laisser comme ça? Un homme aussi magnifique et fragile, bien qu'aujourd'hui je doute qu'il soit aussi fragile qu'il l'était avant… Mais il a toujours se regard dans les yeux et plus vivant que jamais aujourd'hui.

Je tremble comme une feuille. À tel point que je commence même à en perdre mes moyens. Ce qui n'arrange rien. Ça ne fait qu'empirer les choses. Pas maintenant... Pas maintenant. Je veux y arriver. Je veux réussir. Faire plaisir à Thomas. Lui montrer que je l'aime encore. Que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Et pour ça quoi de mieux que de m'offrir à nouveau à lui ? Qu'il finisse ce qu'il a commencé. Mais il est si beau... Comment peut-il vouloir de moi ? Surtout après tout ce temps... Eh bien c'est pourtant simple. Je devrais arrêter de me poser la question. Tommy se met à me rassurer. À caresser mon visage. À m'embrasser. Mon Dieu que c'est bon d'avoir ses lèvres contre les miennes ! Je ferme les yeux, me collant un peu plus contre lui. Mon cœur bat à tout rompre. J'ai l'impression que je vais exploser. Je tremble encore et encore. Cette fois, c'est surtout pour une overdose de bien-être ! Un bien-être qui se répand partout dans mon corps à l'aide de longs frissons ardents qui me parcourent l'échine. Je voudrais que ce moment ne s'arrête jamais.

Soudain je sens de nouveau le sexe de mon homme contre ma main. Il est brûlant. Et... rigide. Je prends une grande inspiration, le caressant doucement à travers le tissu. Je dois dire que ça me fait bizarre. Toucher le membre viril d'un autre homme. Mais pour lui, je ferai tout. Et étrangement plus ça va et plus ça me plait. Je me rappelle de la première fois où je me suis retrouvé dans cette situation. Certes j'aurais préféré une autre fin, cependant rien n'a changé. Il est toujours aussi beau. Je suis toujours autant amoureux de lui. Tout va pour le mieux. Quant à mon érection... Elle revient au galop quand les doigts de mon amant empoignent ma virilité. Je déglutis alors qu'il la parcoure. Je sens ses mains partout sur mon corps. Et tout doucement je passe mes propres mains dans son caleçon afin de redécouvrir ses fesses. Elles sont douces. Chaudes. Je pourrais passer ma vie à les caresser. J'aime tout chez cet homme. Tout. Y compris ce qu'il a fait de moi.

Lorsque Thomas me soulève du sol, je me sens à peine quitter les dalles froides. Après tout, j'avais déjà l'impression de voler... Je m'accroche à ses épaules et serre les jambes autour de sa taille. Mes lèvres dévorent son cou tandis qu'il m'emmène je ne sais où. Mais je m'en fiche. Du moment que je suis avec lui. Je suis le plus heureux des hommes. Malheureusement ça ne dure pas. Pas assez. Je me sens redescendre et frissonner au contact du carrelage. Nous sommes dans les douches. À l'abri de tout. Rien que lui et moi. Lui qui commence à s'allonger sur moi pour me caresser et m'embrasser. Me réchauffer, comme il dit. Je souris largement, laissant même échapper un petit rire, tandis que je reprends ma route sur la peau de mon amant. Je commence sur sa nuque, avant de longer son dos tout doucement, en faisant un détour par ses flancs. Finalement mes mains passent encore sous son caleçon, viennent chercher ses fesses... et ne les lâchent plus.

Instinctivement je commence à me frotter à Thomas, alors qu'il lui reste encore quelques vêtements. Je lui baisse donc son sous-vêtement jusqu'aux genoux, libérant son sexe. Me mordant la lèvre à la vue de ce dernier, je me sens terriblement gêné. Pourtant je finis de déshabiller mon homme, lui retirant chaussures, chaussettes, caleçon, tout. Je le retourne ensuite sur le dos, sans un mot, me contentant simplement de le fixer dans les yeux. Et de me perdre dans son regard. Jusqu'à ce que je me mette à contempler son corps. Mon Dieu... Je n'ai pas les mots. Je retiens ma respiration, manquant presque de m'étouffer. Il y a tellement de choses que j'ai envie de lui faire que l'éternité n'est pas suffisante pour moi. Alors je vais essayer de donner le meilleur de moi-même. Je m'allonge sur lui, fébrile, le souffle court, et commence à l'embrasser. Sentir Thomas nu contre moi est la meilleure sensation dont je puisse rêver. Sa virilité caresse la mienne. Je ne sais pas quoi faire.

Je secoue la tête. Qu'est-ce qui pourrait lui faire plaisir ? Je dois réfléchir le plus vite possible. J'ai bien une idée mais... Je n'ai jamais fait ça. Même la première fois qu'on a commencé à faire... ça. Je ne sais pas si j'en suis capable. Mais bon, il faut bien que je me lance tôt ou tard. J'espère juste que Tommy va aimer. Alors je commence à l'embrasser dans le cou. À laisser ma langue s'aventurer sur son si beau torse. Je dérive un peu vers son téton gauche, que je mordille doucement. J'adore ça. Voir Thomas se livrer à moi. Bien que j'aime encore plus lui appartenir ! Cette nuit est la plus belle de toute ma vie... C'est exactement ce que je me dis en arrivant au niveau du sexe de mon homme. Je le fixe, rougissant jusqu'aux oreilles. J'hésite longuement. Trop longuement. Alors j'attrape le membre du policier d'une main tremblante. Et je me mets à le masturber. Tout doucement. Mais plus je monte et descends, plus mon étreinte se resserre.

" J'ai... J'ai envie d'essayer quelque chose. Mais... M'en veux pas si je suis nul. "

Sans même oser croiser le regard de Tommy, j'avance ma bouche en direction de son gland. Je me mords la lèvre. J'ai du mal à respirer. J'ouvre doucement la bouche. Je... Je ne vais pas y arriver. Et pourtant quelques secondes plus tard je me surprends à accueillir la virilité de mon amant sur ma langue. Je me mets à faire doucement quelques allers-retours, sans brusquerie, gardant toujours une main sur le membre du beau policier. Je ferme les yeux, crispé. Pourvu qu'il aime.